Comme nous ne sommes pas sectaires, nous publions ou relayons sur ce sujet tout ce qui nous semble logique, solide, juste, et non farfelu et sans queue ni tête ; nous ne défendons pas une opinion, un clan mais la vérité qui n’appartient à personne mais à tout le monde. Certes, la vérité sur le 11 septembre est encore à chercher, mais pourquoi ? Simplement parce que les auteurs de ces actes monstrueux ne viennent pas se dénoncer tout seuls, au contraire ils cherchent à empêcher d’avancer tous ceux qui cherchent la vérité, ils les dénoncent d’appartenir à des mouvances dites conspirationnistes, un concept forgé par la CIA depuis des décennies. De qui se moque-t-on ? Si les tenants du pouvoir ont la vérité pour eux de quoi ont-ils peur ? Pourquoi ont-ils menacé ceux qui cherchent la vérité comme Jimmy Walter et Thierry Meyssan qui ont fini par se réfugier ailleurs, l’un en Europe, l’autre au Moyen-Orient ?

Nous relayons cette fois-ci deux hypothèses qui ne sont pas les dernières car elles datent déjà un peu (2008 pour l’une et 2010 pour l’autre), mais elles ont été peu relayées ou discutées y compris à l’intérieur du mouvement réclamant la vérité sur le 11 septembre en exigeant une nouvelle enquête indépendante comme Reopen, Scholars for Truth, etc.

La première hypothèse est celle de John Lear, un ancien pilote de renommée internationale qui affirme qu’il n’y a pas d’avions qui ont percuté les Tours jumelles. Ce qu’on a vu ce jour-là étaient simplement des images projetées par le système holographique muni de sonorité. Dans une interview qui date de 2008, John Lear raconte qu’une de ses connaissances responsable d’une chaîne de télévision a assisté à une une séance privée de Hollywood. Il y avait là une quinzaine de dirigeants des grandes chaînes, le cinéaste Spielberg y était également. La séance commence et un gars arrive de derrière pour expliquer l’historique de la télévision, les différentes étapes de la transmission, les différentes technologies, etc. En parlant le gars enlève ses lunettes, fait des pas vers l’assistance, remonte sur l’estrade, etc. Rien d’anormal pour une telle situation. Quand il termine son exposé au bout d’une vingtaine de minutes, en disant après avoir remis ses lunettes : « C’est l’histoire de la télévision », il a disparu comme une ampoule qui s’éteint. C’était en fait un hologramme, une technologie moderne et très avancée mais encore secrète pour le grand public. Sur le plan physique, un avion de ligne ne peut pas pénétrer entièrement dans une Tour sans que sa carlingue soit réduite en débris lors de l’impact. Cette hypothèse remet en cause donc l’existence des avions et par conséquent celle des passagers dont des terroristes. On voit l’ampleur du sujet.

La deuxième disons hypothèse, car son auteure ne la revendique pas en tant que telle et nous allons comprendre pourquoi. Judy Wood est une chercheuse scientifique, elle a obtenu son doctorat en Génie des Matériaux en 1992 à l’Institut polytechnique de Virginie, de 1996 à 2006 elle enseignait à l’Université Clemson en Caroline du sud. Elle s’est intéressée au 11 septembre après avoir entendu à la télévision des contre-vérités qui tordent le cou aux lois de la physique. Elle a fait, bien entendu, partie du mouvement réclamant la vérité sur le 11 septembre et plus précisément du Scholars for 9/11 Truth (Les chercheurs pour la vérité sur le 11 septembre). Lors d’une rencontre publique avec la députée Cynthia McKinney ¹ en 2005, elle rencontra David G. Griffin (auteur de plusieurs ouvrages sur le 11 septembre qui font autorité), et échangea longuement leurs impressions et idées. Elle lui a suggéré de rassembler des chercheurs au sein d’une structure pour mieux avancer. Plusieurs mois passèrent sans qu’elle ait la moindre nouvelle de Griffin à qui elle avait donné sa carte de visite. Puis un jour elle apprit que Scholars for 9/11 Truth s’est formé autour de deux personnes qui se sont connus par l’intermédiaire de Griffin. Mais les idées de Judy Wood ne plaisaient pas à James H. Fetzer, le fondateur de cette association, il cherchait à ignorer ses travaux. Judy Wood a fini par comprendre qu’elle est indésirable et par quitter cette association tout en continuant ses recherches sans elle.

Judy Mood délimite bien son champ de recherche : comprendre comment les choses se sont passées sur le plan physique, comprendre la destruction des tours. Elle ne cherche pas à savoir qui sont derrière, ni pourquoi de tels actes, car ces investigations relèvent d’un autre champ qui ne peut être abordé que quand on aura compris la destruction des Tours jumelles. Elle dit bien : « Pour que ce soit clair : Je ne crois pas que notre gouvernement soit responsable de la tragédie du 11 septembre 2001 et je ne crois pas que notre gouvernement ne soit pas responsable de la tragédie du 11 septembre 2001.
Ce n’est pas une affaire de croyance mais un crime qui doit être résolu par une étude criminalistique des preuves. » Elle mène ses recherches comme Colombo qui mène l’enquête criminelle pour chercher des preuves sur le crime.

En 2010 elle publia l’ouvrage qui fait date : Where did the towers go ? Evidence of directed free-energy technology (Où sont passées les Tours ? L’évidence de la technologie de l’énergie libre dirigée) ; c’est le résultat de ses 8 ans de travaux à partir des matériaux accessibles (photos, vidéos, etc.). D’après Judy Wood :

• l’explication officielle du gouvernement de la destruction du WTC le 11 septembre est scientifiquement fausse ;
• Le WTC n’a pas été détruit par de la chaleur générée par de l’essence qui brûlait, ni par la combustion d’une autre ou d’autres substances ;
• Le WTC n’a pas été détruit par des explosifs que ce soit de la TNT, ni par thermite ou nano-thermite.

Ce qui a été mis en œuvre était, selon elle, une nouvelle technologie dérivée des recherches de Nicolas Tesla, l’énergie libre dirigée qui est encore inconnue du grand public. C’est cette énergie qui aurait pulvérisé les deux tours jumelles en poussière sans laisser de débris, une force colossale mais maîtrisée pour transformer 1.000.000 de tonnes de matériaux d’immeubles en poussière. Où sont passés les objets ordinaires qu’on trouve dans des bureaux ou habitations tels que tables, chaises, bureaux, baignoires, meubles, etc ? Il ne resta plus que la poussière fine.

Nous arrêtons là pour la présentation. Juste un dernier mot : si on combine ces deux hypothèses (celle de John Lear et celle de Judy Mood), il y a de quoi pulvériser les autres hypothèses dites conspirationnistes.

Voici l’interview Judy Wood par la Radio Ici & Maintenant

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L’interview de John Lear. La partie qui concerne le 11 septembre commence à la 46è minute :

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Illutration : http://www.theblaze.com

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