Les pyramides d’Égypte : mystères et découvertes

Mystères et découvertes

Un documentaire vidéo comme on aimerait voir plus souvent sur les écrans : les bâtisseurs des Pyramides d’Égypte connaissaient le nombre d’or (φ), Pi (π) ; la précision des constructions est de l’ordre du dixième de millimètre, rapportée à des dimensions de l’ordre des centaines de mètres, cela mérite l’admiration car même avec des instruments de précision moderne de notre époque on ne sera pas capable d’atteindre cette prouesse technique. On y découvre entre autres les rapports entre l’Île de Pâques, la grande pyramide de Gizeh, Tassili N’ajjer (Algérie), Petra (Jordanie), Persépolis (Iran), Ur (Sumer-Irak), Mahenjo Daro (Pakistan), Khajuraho (Inde),Pyay (Birmanie), Sukhothai (Thailande), Angkor Vat et Preah Vihea (Cambodge), Shen-hsi (Chine), Teotihuacan (Mexique), Machu-Pichu, Cuzco, Nazca (Pérou), etc., que les pyramides d’Égypte ont résisté aux tremblements de terre qui se sont produits au cours de l’histoire. « Pour la première fois dans l’Histoire, est-il écrit sur la page de présentation du film, un paradigme historique scientifiquement valide et solide vous est directement présenté, à lui seul capable d’ébranler la construction artificielle imposée par l’enseignement grâce au mépris des faits dérangeants : ces faits qui –  de la taille des grandes pyramides parfois – n’entrent pas dans le palais officiel du savoir prétendu rationnel, et qui, tôt ou tard, remettront en cause nos connaissances. » Mais hélas, on reste sur notre faim de savoir comment et avec quels outils ces bâtisseurs ont construit ces pyramides.

 

Mais il ne faut pas aller plus vite que la musique. D’après les auteurs du documentaire (Jacques Grimault, l’informateur et Patrice Pooyard, réalisateur), ils nous réservent encore 6 longs métrages de cette qualité touchant les autres aspects non encore évoqués, pour dire que révélations il y aura, mais il faut patienter. Ce qu’on vient de voir n’est que l’introduction à l’ensemble des recherches entreprises depuis des dizaines d’années par Jacques Grimault. Par ailleurs pour des raisons de droits d’auteurs dont les enjeux dépassent sans doute les aspects pécuniaires, l’informateur est empêché de publier son ouvrage sur cette question et il faut encore se battre pour pouvoir sortir la suite en vidéo. L’appel a été lancé lors d’une émission radiophonique à l’adresse de ceux et celles qui ont apprécié ce documentaire et veulent connaître la suite à se mobiliser pour soutenir les auteurs dans leur combat pour le libre accès aux connaissances. Compléments d’infos :

Les auteurs nous mettent encore en garde aussi de ne pas prêter attention à ce qui est dit dans la version anglaise qui est une « escroquerie » car elle a déformé, dénaturalisé le texte original pour amener tout ce travail sur la fin du monde « prévue » le 21 décembre 2012. Les recherches de Jacques Grimault n’ont rien à voir avec ces aspects apocalyptiques.