L’idée de création de ce site/blog nous est venue après la réunion publique d’information qui a eu lieu à la mairie de Saint-Lizier (Ariège) le 18 octobre 2009. Un site/blog qui servirait de relais à toutes les initiatives citoyennes, personnelles ou associatives mettant en cause le bien-fondé des vaccins, en l’occurrence celui contre la grippe A-H1N1, relais aux actions en cours pour faire stopper cette machination. Nous voulions disposer d’un lieu d’information réservé à cet effet. Bien sûr que d’autres sites ayant le même but existaient sur le web, mais on n’est jamais de trop dans la jungle de l’information.
Finalement le site collectif n’a pas pu être mis en place faute de temps. Nous avons donc repris ce papier pour faire paraitre sur le blogdanco.
Nous nous sommes aperçus que si des citoyens anonymes comme nous ont décidé d’agir c’est qu’il y a un problème quelque part : les médias officiels étaient unanimes pour soutenir d’une manière ou d’une autre la campagne de vaccination contre la grippe A-H1N1 décidée en haut lieu par l’OMS, puis les gouvernements. Aucune voix dissidente ne s’est élevée pour demander des explications sur l’épidémie, déclarée « pandémie » par les autorités sanitaires de l’OMS. Pour ne citer que quelques journaux dits de gauche ou critiques, Politis s’est contenté dans son numéro 1066 du 3 au 9 septembre 2009 de faire remarquer que tout le monde n’est pas logé à la même enseigne face à la pandémie, en parlant des pays pauvres, tout en donnant la parole à un médecin pro-vaccination. Lire la suite
Archives pour la catégorie Pot-pourri
Introduction à la réunion publique d’information sur le thème : « Grippe… pandémie… Vaccins… Vous a-t-on tout dit ? » avec le docteur Marc Vercoutère
Nous sommes contents d’être là avec vous aujourd’hui pour un après-midi sérieux en compagnie du docteur Marc Vercoutère alors qu’il fait beau dehors…
Il ne s’agit pas pour nous de jouer à se faire peur car beaucoup d’autres se sont chargés de le faire. Il s’agit de regarder les choses en face, de les identifier, de les comprendre avant d’agir si on a encore le temps.
L’idée c’est de:
- se prendre en main (on n’est jamais mieux servi que par soi-même dans ce bas monde) ; Lire la suite
Abstention … « à la con ? »
Européens, Européennes,
Nous étions nombreux et nombreuses à ne pas aller voter, et chacun a de bonnes raisons pour ne pas y aller. Résultats des courses ? Pas le score, mais que va faire le gouvernement ?
Il va réfléchir avant de prendre une décision car 50 et 60 pour cent de la population française se sont abstenus ?
La démocratie représentative a ses propres limites et on les voit tous les jours. Quand une démocratie ne se donne même pas la peine de faire attention à cette majorité silencieuse, il y a un problème. C’est le problème de la représentativité ! Lire la suite
Toulouse, place du Capitole, mardi 10 février, 15 heures.
La foule. Des banderoles. De la musique mais pas de sono assourdissante.
L’itinéraire : Le cortège démarre en quittant la place du Capitole pour s’engager dans la rue latérale avant de continuer sur la rue d’Alsace-Lorraine en direction du Palais de Justice, le Grand Rond, Allée François Verdier, rue de Metz, rue d’Alsace-Lorraine puis le Capitole. Une boucle en deux heures.
La foule, inoffensive, est composée pour une moitié de jeunes. Autrement dit, enseignants, chercheurs et étudiants étaient main dans la main pour dire non à la réforme des universités. Lire la suite
Action en direction du grand public
Il est question pour le mouvement d’aller à la rencontre du public pour faire connaître le bien fondé de notre cause, de nos revendications, les risques de dérapage avec la mise en place de la réforme. Car on ne peut pas compter sur les médias. Si la grève dure, et il y a des chances que l’issue ne soit pas pour demain, comme action possible, on pourrait mettre en place une sorte de forum citoyen sur la recherche et l’enseignement dans les lieux publics (certains métros bien aménagés, églises, parvis de Beaubourg, du Trocadero, Opéra, Odéon, etc.). Les enseignants-chercheurs viendront avec leurs publications (car on nous accuse de ne pas publier assez) pour montrer au public que le discours officiel est de nature mensongère visant à discréditer notre profession. Lire la suite