Jean-Pierre Malet, un génie dédoublé


Pour éviter de réinventer la poudre (chère à notre regretté disparu Brassens) je reprends la présentation du site L’observatoire du réel sur Jean-Pierre Malet qui signe Jean-Pierre Garnier Malet les ouvrages  [1] écrits avec son épouse. Voici donc cette présentation :

« Passionné de théâtre et de cinéma le jeune Jean-Pierre Malet suit un cursus de physique, contraint et forcé par son père, militaire, qui ne veut pas qu’il s’oriente vers ces disciplines. Mais, Jean-Pierre veut aller vite et choisi ses certificats de mécanique des fluides de sorte qu’il en passe le plus possible, le plus vite possible. Mais voilà, dès la première année, il passe ces certificats dans le désordre. Pour accéder en année supérieure, il faut une dérogation mais que seul peut octroyer le Président de la République. Son professeur de physique introduit cette demande de dérogation, car il veut conserver le jeune Malet dans son laboratoire.

En attendant une réponse, Malet fait de la bibliographie et passe son temps en bibliothèque. Il y trouve notamment une équation (dite de Laplace Bernouilli) dont l’énoncé est posé en anglais. Jean Pierre l’intègre, mais il lit mal l’anglais et il ne comprend pas que c’est in-intégrable. Son professeur s’en amuse, mais l’équation est bel et bien résolue, alors que la communauté scientifique n’en trouvait pas la solution. De ce fait, de Gaulle octroie la dérogation. Mais les applications de l’équation sont telles qu’on sollicite une publication à l’Académie des Sciences. Jean Pierre Malet est alors le plus jeune a faire l’objet d’une publication à l’Académie. Il est en seconde année. Il faut une thèse, mais on ne passe pas une thèse en 2ième année. Au terme d’un codicille de Pompidou, il obtient une nouvelle dérogation et passe sa thèse d’État en 3 ans.

À sa sortie de l’Université, il est sollicité par les ambassadeurs de Russie et du Canada. Il reste en France, intègre le ministère de la Défense. Rapidement il démissionne, obtient par équivalence un diplôme d’architecte et poursuit seul ses recherches fondamentales en physique.

Après une première découverte essentielle sur les propriétés du temps en 1988, il se consacre pendant 10 ans souvent 18h par jour pour découvrir en 1998 la loi du dédoublement du temps.

Pour témoigner sa reconnaissance à sa femme qui l’a soutenu contre vents et marées il adjoint son nom à toutes ses publications et signe désormais Jean-Pierre Garnier Malet.

Il publie dès lors 4 publications majeures à référés. En 2006, il reçoit un Best Paper Award de l’American Institute of Physics (AIP). Mais si l’autonomie lui a permis de penser sans contraintes, il a du mal, seul, isolé, sans le soutient d’un laboratoire, à faire valoir une loi qui remet en cause de nombreux paradigmes et ouvre des portes qui dépassent celles de la physique. »

D’aucuns pourraient s’étonner de ne pas trouver Jean-Pierre Garnier Malet parmi les savants maudits [2] auxquels Pierre Lance a consacré 4 volumes. Certes, ce savant n’a pas été persécuté comme l’ont été Jean Solomidès, Mirko Beljanski, Loïc Le Ribault, etc., mais il ne fait pas partie non plus des savants reconnus par la nomenklatura scientifique française. Des dictateurs trouvent une terre d’accueil en France – par exemple Baby Doc de Haïti – mais, ce pays maltraite ses propres enfants quand il s’agit des génies scientifiques, surtout quand ils découvrent quelque chose hors du ronronnement ambiant. Ce ne serait pas Pierre Lance qui dira le contraire.

Pour illustrer les idées de Jean-Pierre Malet nous relayons quelques vidéos dans lesquelles il essaie de nous expliquer l’inexplicable pour le commun des mortels non passé par math sup et mat spé puis des années d’études et de recherches.
Les internautes découvriront, outre sa théorie sur le dédoublement du temps, bien des phénomènes et des faits inédits tels que :
– le détournement du Nil qui, à l’origine, ne se jetait pas dans la mer Méditerranée mais dans l’Océan Atlantique. Et à propos, le sous-sol du Nil dans sa partie détournée est du granit… Une simple question : « Comment ceux qui ont détourné le Nil ont fait et avec quels outils ? » Sans doute avec des outils rudimentaires que les Égyptologues officiels nous sortent à tout propos, tels que le maillet, le burin, la hache, le marteau, l’équerre, le cordeau, etc. ;
– les rôles respectifs de Bouddha, Jésus et Mahomet dans le cycle du dédoublement du temps ;
– le pouvoir de la pensée libéré du temps ;
– les rêves et les ouvertures temporelles, etc., etc.
Nous vous laissons en compagnie de Jean-Pierre Garnier Malet.

Notes :
[1]. Les ouvrages de Jean-Pierre Garnier Malet parus aux Éditons Le temps présent :
Changez votre futur par les ouvertures temporelles, 2006, 227 p.
Le double… comment ça marche ?, 2007, 199 p.
La force de l’invisible, 2014, 155 p.
aux Éditions L’Observatoire du réel : Ces vérités que l’on cache, 2012, 140 p.
[2]. Pierre Lance, Savants maudits, chercheurs exclus, 4 volumes, Guy Trédaniel Éditeurs.

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Illustrations :
– Photo de Jean-Pierre Garnier Malet : http://www.btlv.fr/
– schéma de la théorie du dédoublement du temps : https://lasciencedesextraterrestres.wordpress.com/

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Ces vérités que l’on cache :

Le dédoublement du temps :

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