Les connaissances académiques chahutées

« Quand le fait qu’on rencontre ne s’accorde pas avec une théorie régnante, il faut accepter le fait et abandonner la théorie. » Claude Bernard (1813-1878), médecin et physiologiste français.

Les archéologues, du moins ceux qui font partie de l’establishment, n’ont pas de chance : les découvertes récentes mettent en péril leurs sciences ultimes. Mais ils peuvent toujours tourner leur tête ailleurs pour les ignorer en arguant qu’elles ne relèvent pas de la communauté scientifique, la leur bien sûr, comme c’est le cas pour la « communauté internationale » qui se résume selon les circonstances, à quelques États guerriers déterminés à envahir d’autres États plus faibles et qui ne leur plaisent pas. Par contre ceux qui regardent la réalité en face, les archéologues ouverts et honnêtes s’entend, ceux-là ont du pain sur la planche. Mais quelle chance de pouvoir être témoins et de participer à déchiffrer le passé lointain qui commence à être dévoilé par des découvertes majeures dont les plus récentes :

• une civilisation disparue il y a 12 000 ans av. JC découverte à Gobekli Tepe, en Turquie, bien antérieure aux pharaons d’Égypte ;
• le complexe architectural enfoui au large du Japon ;
• une ancienne cité indienne dévastée sans doute par une explosion nucléaire il y a entre 8.000 et 12.000 ans d’après les mesures de rayonnements radioactifs dégagés par le site ;
• les nouvelles révélations sur les pyramides d’Égypte faite par Jacques Grimault à travers son documentaire ;
• le complexe pyramidal de la vallée de Bisoko en Bosnie.

C’est surtout ce dernier qui donne du fil à retordre à ceux qui veulent bien accepter les faits au lieu de les rejeter parce qu’on n’y trouve pas d’explications. Quelques données recueillies puis confirmées par des laboratoires spécialisés donnent déjà le vertige :

• les sommets des trois pyramides (du Soleil, de la Lune et du Dragon) forment un triangle équilatéral de 2170 m de côté ;
• un réseau formé de passages et de chambres souterraines se trouve sous les pyramides qui semblent reliés au labyrinthe « Ravne » de dizaines de kilomètres de long, jalonné de couloirs, de chambres et de lacs artificiels. Ces réseaux souterrains dégagent des ions négatifs qui sont excellents pour la santé. Les densités de ces ions négatifs dans ces tunnels sont 4 à 5 fois supérieures à celles au sommet de la montagne, au bord de la mer ou dans la forêt. Tout compte fait on dirait que certains endroits de ces tunnels souterrains servaient de centre de mise en forme et de guérison.
• l’existence d’un faisceau énergétique d’un rayon de 4,5 mètres,  qui passe par le sommet de la pyramide, il s’agit des ondes électromagnétiques ; et plus étonnant encore, on dirait que la pyramide sert d’amplificateur car ces ondes sont 50 fois plus puissantes au sommet qu’à la base, ce qui est contraire aux lois de la propagation des ondes selon lesquelles elles perdent leur puissance en s’éloignant de la source ;
• détection au sommet de la pyramide du Soleil des phénomènes d’ultrasons dont la fréquence se situe dans les 32 khz, inaudibles à l’oreille humaine; mais une fois que la fréquence de ces ultrasons est convertie en 8 khz, on peut entendre « parler » la pyramide ;
• certaines couches du sol qui recouvre la pyramide du Soleil ont approximativement 12000 ans. Ce qui ferait de cette pyramide, la plus ancienne de la planète. Plus surprenant : une feuille fossilisée coincée sous la couche de béton datée par carbone 14 donne le chiffre de 24.800 années avec une marge d’erreur de 200 ans ;
• haute de 220 mètres, cette pyramide est la plus grande de la planète. Dans le labyrinthe souterrain on trouve des blocs de quelques centaines de kilos à 8 tonnes, sur certains figurent des symboles qui font penser à une écriture cursive bien connue des spécialistes ;
• la qualité des blocs de béton avec lesquels a été fabriquée la pyramide est supérieure à celle de n’importe quel béton moderne, etc.

Ces quelques données mettent à mal les connaissances académiques faisant de l’histoire humaine une aventure de 5.000 ans depuis l’invention de l’écriture par les Sumériens ou 8.500 ans avec l’invention de l’agriculture. Face à des œuvres monumentales telles que ces pyramides qui datent de plusieurs dizaines de milliers d’années et évoquant une civilisation qui, non seulement n’avait rien à envier à celles connues des humains actuels mais les dépasse de loin en technologie du moins, si on continue à faire l’autruche le monde doit avancer sans les conservateurs conformistes imbus d’eux-mêmes et murés dans leur tour ivoire en croyant détenir les connaissances ultimes de l’histoire humaine. Il est temps de mettre à jour, révolutionner les connaissances dans tous les domaines quand c’est nécessaire, réintroduire celles qui ont été jetées aux oubliettes, pour être en accord avec les nouvelles données et découvertes, et pour rendre justice aux savants maudits. En l’occurrence :

• l’archéologie doit prendre en compte les trouvailles de nouvelles fouilles ;
• l’histoire moderne ne peut plus ignorer les nouvelles révélations sur
  • le rapport entre la révolution bolchevique et Wall Street ;
  • le rôle de Rockefeller dans le mouvement de libération de la femme ;
  • la complicité du milieu industriel et financier du monde occidental (États-Unis, France particulièrement) avec la montée du nazisme ;
  • le rôle de l’Occident dans l’exploitation sans vergogne de l’Afrique, l’Amérique latine et l’Asie du Sud-Est, le maintien des dictatures dans ces régions et l’élimination en règle des vrais démocrates qui voulaient se libérer de cet Occident maléfique et sournois ;
  • l’histoire contemporaine ne peut plus ignorer les travaux entrepris par des groupes de citoyens afin que la vérité sur les attentats du 11 septembre soit reconnue, comme elle ne peut plus ignorer que le président du Conseil Aldo Moro, leader des démocrates chrétiens italiens, n’a pas été enlevé puis assassiné par les Brigades rouges comme on voulait nous le faire croire mais par le service secret de l’OTAN, dirigé par les États-Unis, dans le but de dissuader les hommes politiques italiens d’inclure des communistes dans leur gouvernement, ce que Aldo Moro s’apprêtait à faire ;
• la médecine doit réintégrer les connaissances et pratiques thérapeutiques de savants et chercheurs jetés aux oubliettes en les réhabilitant car leurs inventions ou découvertes ont fait des preuves. Parmi ces savants maudits on peut citer : Antoine Béchamp, Georges Lakhovsky, René Quinton, Raoul Estripeaut, Jean Solomidès, Mirko Beljanski, Loïc Le Ribault, Mathias Rath, Yvette Parès, etc. [1] Faut-il aussi rappeler que certains remèdes ou produits mis au point par ces chercheurs hors du commun ont neutralisé pour ne pas dire vaincu le cancer ?

S’il suffit de rejeter un fait quand il ne cadre pas avec sa théorie, cela relève de l’enfantillage, de myopie quand c’est de bonne foi. Claude Bernard n’a-t-il pas dit que « Quand le fait qu’on rencontre ne s’accorde pas avec une théorie régnante, il faut accepter le fait et abandonner la théorie » ? Mais à l’heure actuelle combien de chercheurs, toutes disciplines confondues, sont dignes d’être des descendants de ce grand scientifique du XIX siècle ? Combien mettent en pratique cette attitude scientifique ? Nous avons bien des doutes à ce sujet surtout quand on apprend le destin des chercheurs maudits qu’on persécute simplement pour avoir découvert des remèdes ou des faits nouveaux.

Si on est honnête avec soi-même on dira comme l’a fait le professeur Semir Osmanagich, le découvreur du complexe pyramidal en Bosnie, que d’autres civilisations très avancées ont précédé les nôtres, par conséquent tous les livres d’histoire sont à réécrire :

• la civilisation sumérienne n’est pas la première de l’humanité sans parler de la Bible qui n’est qu’une compilation grossière des œuvres léguées par Sumer et ses héritières ;
• les bâtisseurs des pyramides d’Égypte ne sont pas des Pharaons, et elles ne sont pas leurs tombeaux ; même si certains d’entre eux ont essayé de faire construire des pyramides mais à des dimensions beaucoup plus modestes.

Voilà quelques uns des thèmes évoqués dans ce documentaire consacré aux pyramides de Bosnie à travers leur découvreur, le professeur Samir Osmanagich :

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Mise à jour :

Avec quelques années de recul, le fonds de nos pensées reste valable même si nous somme maintenant plus que réservés sur le personnage de Samir Osmanagich, le découvreur des pyramides de Bosnie, qui est parti vivre en Floride ! Ceci dit les pyramides de Bosnie restent donc à prouver. Mais ceci ne remet pas en cause ce que nous avons avancé sur les connaissances académiques, les milieux dits scientifiques et leurs rapports avec les chercheurs indépendants.

Crédits photos :

http://pyramidesbosnie.com/la-vallee-des-pyramides-de-bosnie/

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Notes :
[1]. Voir les 4 tomes des Savants maudits – Chercheurs exclus de Pierre Lance, Guy Trédaniel Éditeurs.

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