Menacé par le Conseil national de l’ordre des médecins d’être rayé de l’Ordre, le Dr Didier Moulinier a fait un appel de détresse à travers un site web qui a bien voulu entendre sa cause, le seul moyen qui lui restait, car les médias dominants ont d’autres chats à fouetter. (Il faut qu’il s’estime heureux car quand les médias se détournent des chats ils hurlent avec les loups comme ils sont en train de faire contre un autre médecin, le Docteur Dukan). Qu’est-ce que ce médecin cancérologue a fait de mal, qu’est-ce qu’il a commis comme crime pour qu’on invoque l’excommunication ? Il le dira dans son appel au public.
Cet appel a soulevé une vague de sympathie qu’on peut voir dans la page de Youtube qui le retransmet. C’est un premier pas. Mais est-ce qu’on peut se contenter de paroles consolantes face à une entreprise dictatoriale, une machine inquisitoriale qui vise à monopoliser le secteur de la Santé qui nous concerne tous ?
Si le Cnom arrive à faire taire, éliminer tous ses concurrents, ce sont les patients qui devront payer les pots cassés : demain il n’y aurait plus de thérapies alternatives, fini les soins par les plantes et par-là même, aux orties les connaissances ancestrales léguées par des générations et générations, fini toutes les approches différentes de celle de la médecine conventionnelle qui, rappelons-le, privilégie les pathologies au détriment du patient, contrairement à l’approche de la médecine traditionnelle chinoise qui place le patient au centre de la thérapie, pour ne citer que cet exemple. On se retrouve donc dans l’approche de la médecine conventionnelle avec le même médicament pour tous les patients atteints de la même maladie alors qu’avec la médecine chinoise chaque patient reçoit une ordonnance différente, c’est-à-dire une potion pharmaceutique personnalisée selon les résultats obtenus par le médecin. On ne s’étonne pas après de constater que les effets secondaires sont devenus un véritable problème dans l’approche de la médecine occidentale, et pour cause : on donne le même médicament à tout le monde sans connaître les caractéristiques quant à la tolérance de chacun des patients. Mais pour les médecins traitants, s’il y a des effets secondaires c’est le patient qui est en cause et non pas le remède censé le soigner ! Une paresse d’esprit et une insulte à l’esprit scientifique ! En se fondant sur cet exemple, on voit bien quelle est l’approche la plus globale, la plus riche, la plus intéressante pour les patients comme pour les médecins-traitants. Mais si on se bande les yeux dans ce cas tout va bien. Cela nous rappelle une blague racontée par une connaissance : « Je fais bien la cuisine mais ce sont les autres qui ne la mangent pas ! »
Profitons de cette occasion pour réclamer la liberté dans le choix de thérapies, le devoir de cultiver puis de transmettre les traditions thérapeutiques ancestrales aux générations futures, l’échange des méthodes d’approches pour trouver la meilleure pour chaque patient, au lieu de se soumettre à un ordre dictatorial qui traite les malades comme des moutons.
Après la parution de ce papier, nous avons trouvé une pétition qui a été lancée pour le droit à la liberté thérapeutique des malades et le libre choix du thérapeute.
Voici l’appel du Dr. Didier Moulinier :
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