11 septembre : Susan Lindauer, ancienne agente de la CIA, témoigne contre la version officielle

C’est un documentaire en 6 épisodes d’une dizaine de minutes chacun filmé lors de la sortie de son livre intitulé Extreme Prejudice: The Terrifying Story of the Patriot Act and the Cover Ups of 9/11 and Iraq. Susan Lindauer était une agente « active » au sein de la CIA. C’était un personnage-clef dans les relations irako-états-uniennes puisque les informations passaient par elle avant d’arriver aux deux parties concernées. Elle était contre la guerre du Golfe. Elle était contre l’embargo et les sanctions frappant l’Irak qui faisaient des victimes parmi les innocents comme les enfants. On estime à plus d’un million le nombre de victimes des sanctions imposées par les États-Unis et leurs alliés, dont au moins 500.000 enfants. La réalité est encore plus dramatique.

Pour Susan Lindauer c’est un génocide. Et pourtant l’Irak était prêt à tout pour la levée d’embargo : les agents du FBI pouvaient venir contrôler et vérifier la destruction des armes, des contrats juteux pour l’industrie US (achat d’un million de voitures chaque année pendant 10 ans, travaux publics en matière de télécommunications, de santé, etc.). On était en juin-juillet 2001. Mais pour le gouvernement états-unien, cette levée d’embargo ne peut se faire sans contre partie qui est de l’ordre du renseignement sur les futurs attentats frappant les États-Unis imputés aux terroristes d’origine moyen-orientale. Début août 2001, l’Irak n’avait toujours rien à fournir comme renseignements aux États-Unis qui le menaçaient déjà : « Si vous ne nous donnez pas de renseignements nous allons vous ramener à l’âge de la pierre. » Susan Lindauer savait que l’Irak n’avait rien à voir avec les attentats terroristes qui se préparaient, elle en a parlé à son supérieur et tout le milieu du renseignement, les autorités politiques parlaient d’une manière ou d’une autre des attentats terroristes qui allaient frapper les États-Unis. Le ministre de la justice John Ascroft aurait dit : »Oh les gens de la CIA continuent de parler de terrorisme, ils continuent de parler de cette histoire d’avions détournés, ils sont paranoïaques, pourquoi continuent-ils de nous casser les pieds avec ça ? » Elle a essayé d’attirer l’attention des autorités qui avaient autre chose à faire que de l’écouter.

Des révélations explosives

  • Les plus hautes autorités de l’État (le président, ou le vice-président ou le Secrétaire d’État à la Défense) ont menacé l’Irak de guerre bien  avant le 11 septembre ;

  • vers le 23, 24 août et d’étranges camionnettes non identifiées venaient au WTC après le départ du concierge vers 3 heures du matin, et ce jusqu’au début septembre (soit le 3 ou le4). On sait par ailleurs que la thermite est un explosif qui peut faire fondre l’acier et que seule l’armée états-unienne en possède.

  • Mohammed Atta qui selon la version officielle était le chef de file des terroristes est en réalité un agent actif de la CIA ;
  • Les Irakiens ont financé la campagne de Bush-fils pour prouver qu’ils ne sont pas les ennemis des États-Unis ;
  • Dans l’affaire Susan Lindauer le juge était Mukasey, nommé plus tard procureur général. C’est aussi Mukasey qui s’occupe de l’aspect financier du 11 septembre notamment les réclamations d’assurance du nouveau propriétaire du WTC Larry Silverstein qui fréquente la même synagigue de le juge Mukasey ;
  • un des pilotes, celui qui a « descendu un avion » (le vol 93) est actuellement en prison en Floride ;
  • Son supérieur hiérarchique à la CIA a touché 13 millions de dollars net d’impôts provenant de « 911 investigation », qui étaient prévu pour l’Irak.

Bref, Susan Lindauer qui en savait trop et qui a alerté les autorités sur l’imminence des attentats s’est retrouvée en vertu du Patriot Act, prisonnière pendant un an dans une prison militaire sans aucun procès, et elle était mise en accusation pendant 5 ans. On l’a forcée à prendre des drogues car elle ne présentait aucun signe de détresse, ni de trouble psychologique, etc.  Selon le Patriot Act, les accusations, les preuves, les témoignagest peuvent rester secrets sans que l’accusé puisse les connaître. Au bout de dix ans de calvaire, elle a décidé de tout mettre sur la place publique.

1er épisode :

 

2e épisode :

 

3e épisode :

 

4e épisode :

 

5e épisode :

 

6e épisode :

 

* * * * *