Bulletin du 9 septembre 2011

vignetteSans équivoque

« Vous êtes un nid de vipères. J’ai l’intention de vous déloger, et par l’Éternel je vous délogerai. Si seulement le peuple était conscient de l’injustice flagrante de notre monnaie et de notre système bancaire, il y aurait une révolution avant demain matin. » (Andrew Jackson [1] (1767-1845), septième président des États-Unis, à l’adresse des banquiers)

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Un livre à lire

  • Eustace Mullins, Les secrets de la Réserve Fédérale. La « London Connection », préface de Michel Drac, traduction de l’anglais, notes & biographies de Jean-François Goulon, Éditions Scribedit, 2010, 426 p. L’ouvrage est pour la première fois traduit en français. Sa première édition originale remonte à 1952 sous le titre de Mullins on The Federal Reserve, publiée par Kasper & Horton de New York après avoir essuyé le refus de 18 éditeurs. C’est le travail d’une vie, quarante ans de recherches sur le « plus grand hold-up de l’Histoire », le « coup d’État bancaire », le « récit d’une trahison », d’un « complot », d’un « syndicat du crime », selon les propres termes de l’auteur, syndicat formé de plus grandes banques de l’époque. En 1961, dix-mille exemplaires de la version allemande parue en 1955 ont été brulés par les agents du gouvernement sous les auspices du juge Israël Katz de la Cour suprême de Bavière avec le consentement de l’Ambassadeur des États-Unis. L’auteur, qui explique entre autres, les liens entre la création en 1913 de la Réserve Fédérale, la Fed (qui n’a rien de fédéral à part son nom), et la crise de 1929, les deux guerres mondiales, les dettes publiques, etc., n’a complètement terminé son œuvre qu’en 1991. Inutile de dire que le lecteur y découvre « des secrets plus explosifs les uns que les autre ». Un ouvrage capital pour décrypter les événements survenus dans la première moitié du XXe siècle, pour comprendre l’état de notre monde.

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    Notes :

    [1] Le président Jackson qui a fait graver sur sa tombe l’épitaphe « j’ai tué la banque ») avait été victime d’une tentative d’assassinat : l’assassin chargé de l’abattre est venu avec deux pistolets mais qui n’ont pas fonctionné.

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