Archives pour la catégorie Extraits d’ouvrages anciens

Quelques preuves particulières de l’influence indoue par l’Égypte sur la société hébraïque

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« Toi seul en effet, ô Seigneur, tu connais les effets, la vraie nature et le but de cet ordre universel (établi par) l’Être existant de lui-même, inconcevable et insondable. » (Les lois de Manou)

Afin de rendre la lecture plus fluide, nous insérons au début de chaque article des liens de cette série inédite d’une vingtaine d’extraits de plusieurs ouvrages sur l’origine du christianisme et ses rapports avec les anciennes religions de l’Inde, bref une comparaison de la Bible avec les anciens textes sanscrits. C’était l’oeuvre de Louis Jacolliot (1837 – 1890), magistrat français aux Indes au temps de la colonisation.

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Les mœurs et coutumes de la Judée rappellent tellement celles de l’Inde qu’elles suffiraient à elles seules pour soulever tous les doutes que l’on pourrait conserver sur la colonisation du monde ancien par des émigrations venues de l’Indoustan.
Nous avons vu les grands principes de cette vieille civilisation dominer la Perse, l’Égypte, la Grèce et Rome : la Judée va nous montrer la même influence jusque dans les moindres détails de son organisation sociale. Nous cueillerons au hasard et sans ordre parmi ces nombreux points de contact et ces ressemblances, si frappantes qu’il est impossible de ne pas affirmer plus vigoureusement encore cette unité d’origine de tous les peuples de l’antiquité, que nous avons, dès les premières pages de ce livre, posée presque comme un axiome. Lire la suite

Impossibilité de l’influence biblique sur le monde ancien

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« Nous saurons un jour que toutes les traditions antiques, défigurées par l’émigration et la légende, appartiennent à l’histoire de l’Inde. » Eugène Burnouf (1801-1852)

Afin de rendre la lecture plus fluide, nous insérons au début de chaque article des liens de cette série inédite d’une vingtaine d’extraits de plusieurs ouvrages sur l’origine du christianisme et ses rapports avec les anciennes religions de l’Inde, bref une comparaison de la Bible avec les anciens textes sanscrits. C’était l’oeuvre de Louis Jacolliot (1837 – 1890), magistrat français aux Indes au temps de la colonisation.

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Quelques écrivains catholiques, dans un enthousiasme que je comprends, ont voulu faire de Moïse l’initiateur des peuples anciens.
On pourrait, je crois, sans grand danger, ne pas faire à cette opinion l’honneur d’une discussion ; les hommes sérieux et nourris de l’antiquité seront de cet avis. Cependant, un semblant d’objection peut naître de cette prétention.
Voyons donc ce qu’elle vaut.
Je comprends qu’une grande nation, l’empire romain, par exemple, puisse faire accepter son influence aux peuples qu’elle soumet à ses lois par la conquête. Je comprends qu’un petit peuple, les Athéniens, par exemple, arrive, par le développement extraordinaire de son génie artistique, de son génie littéraire, philosophique et moral, à servir de modèle à ses successeurs dans cette grande voie du progrès qui sillonne le monde et ne connaît pas de nationalités. En effet, on n’effacera pas de la scène du monde civilisé les siècles de Périclès et d’Auguste. Lire la suite

Les parias d’Égypte et Moïse

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« Si l’homme descend de l’homme, le corollaire fatal de cette vérité est de faire procéder les nations d’autres nations plus anciennes. » Louis Jacolliot (1837 – 1890), La Bible dans l’Inde.

Afin de rendre la lecture plus fluide, nous insérons au début de chaque article des liens de cette série inédite d’une vingtaine d’extraits de plusieurs ouvrages sur l’origine du christianisme et ses rapports avec les anciennes religions de l’Inde, bref une comparaison de la Bible avec les anciens textes sanscrits. C’était l’oeuvre de Louis Jacolliot (1837 – 1890), magistrat français aux Indes au temps de la colonisation.

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Nous voici arrivés au point capital de notre œuvre ; sur ce terrain brûlant, où nous allons courageusement attaquer toutes les superstitions, toutes les absurdités que le judaïsme a léguées à nos sociétés modernes, nous apporterons un esprit de critique impartial et ferme, dégagé de tous systèmes et de toute croyance imposée, et n’ayant de respect que pour la vérité.
Les choses dont nous repousserons les impossibilités dans le présent, nous en repousserons les impossibilités dans le passé.
Toutes les fois que le merveilleux sera en lutte avec la raison, nous lui demanderons ses preuves, au même titre que ses partisans les exigent eux-mêmes de la raison.
Quand nous rencontrerons l’absurde, nous lui dirons simplement : Tu es absurde, et nous passerons.
L’homme n’a changé ni dans sa forme corporelle, ni dans ses facultés, et s’il admet comme vrai dans les temps anciens et fabuleux ce qui le ferait sourire de pitié aujourd’hui, c’est qu’il n’a pas le courage d’une opinion franche et raisonnée, et qu’il ne sait se défaire du bagage de fables dont on s’est plu à lui obscurcir l’intelligence dès le berceau.
Nous comprenons parfaitement pourquoi les intolérances modernes se réunissent pour lancer toutes leurs foudres sur la raison, et anathématiser ou excommunier ses conquêtes. C’est que du jour où le libre arbitre deviendrait la seule loi reconnue par toutes les consciences, leur règne finirait par l’impossibilité où elles se trouveraient d’expliquer les contes, les légendes et les pratiques mystérieuses qui font leur force.
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Minos et la Grèce

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« Un homme donne à l’Inde des lois politiques et religieuses, et il s’appelle Manou. Le législateur égyptien reçoit le nom de Manès. Un Crétois se rend en Égypte pour étudier les institutions dont il veut doter son pays, et l’histoire conserve son souvenir sous le nom de Minos. » Louis Jacolliot ( 1837 – 1890), La Bible dans l’Inde.

Afin de rendre la lecture plus fluide, nous insérons au début de chaque article des liens de cette série inédite d’une vingtaine d’extraits de plusieurs ouvrages sur l’origine du christianisme et ses rapports avec les anciennes religions de l’Inde, bref une comparaison de la Bible avec les anciens textes sanscrits. C’était l’oeuvre de Louis Jacolliot (1837 – 1890), magistrat français aux Indes au temps de la colonisation.

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La preuve la plus irréfutable de l’influence de l’Inde sur la Grèce est dans ce fait, sur lequel nous nous sommes déjà fort longuement étendu, que le sanscrit a formé la langue de ce pays. En effet, tous les noms des époques fabuleuses et héroïques des dieux et des demi-dieux, tous les noms des peuples que la Grèce nous a transmis sont du sanscrit presque pur ; on peut dire également que la plupart des mots qui composent cette langue et sa syntaxe ont la même origine, et cela sans craindre le plus léger démenti, et, si les discussions pouvaient se produire sur ce terrain, il nous serait facile de démontrer que cette assertion est simplement une vérité mathématique qui, comme telle, peut vigoureusement s’affirmer et se prouver. Aussi ne consacrerons nous que quelques lignes au législateur crétois, dont l’oeuvre écrite, du reste, ne nous est pas parvenue.
Minos a une origine incontestablement asiatique; l’histoire grecque le fait venir de l’Orient en Crète, où le peuple, frappé de sa sagesse, lui demanda des lois. Il se mit alors à voyager en Égypte, dont il étudia les institutions ; l’Asie, la Perse et les rives de l’Indus le virent à leur tour interroger les traditions et les législations antiques, puis il revint donner aux Crétois son livre de la loi, qui, peu après, fut adopté par la Grèce entière.
Ce fut probablement à la suite de ses voyages qu’il reçut le nom de Minos, dont, ainsi que nous l’avons dit, la racine sanscrite signifie : législateur, et on conçoit qu’en présence de ses pérégrinations en Égypte et en Asie, en présence de son origine orientale, nous nous trouvions à l’aise pour le rapprocher de Manou et de Manès et émettre l’opinion, attestée par les faits, puisqu’il est remonté aux sources primitives pour s’instruire, qu’il s’est inspiré des oeuvres des législateurs indous et égyptiens, et qu’il a tenu à honneur de s’approprier le titre honorifique que la reconnaissance des peuples avait décerné à ses deux devanciers. Lire la suite

Manou – Manès – Minos – Mosès

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« Quand la durée de la dissolution, dit Manou, fut à son terme, alors le Seigneur existant par  lui-même, qui n’est pas à la portée des sens  externes, rendant perceptibles ce monde avec  les cinq éléments, et les autres principes  resplendissant de l’éclat le plus pur, parut et développa la nature. » 

Afin de rendre la lecture plus fluide, nous insérons au début de chaque article des liens de cette série inédite d’une vingtaine d’extraits de plusieurs ouvrages sur l’origine du christianisme et ses rapports avec les anciennes religions de l’Inde, bref une comparaison de la Bible avec les anciens textes sanscrits. C’était l’oeuvre de Louis Jacolliot (1837 – 1890), magistrat français aux Indes au temps de la colonisation.

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Pour montrer que « l’Inde a été le foyer générateur de toutes les religions du monde ancien », Jacolliot s’est attaché à le démontrer en s’appuyant sur des textes sanskrits anciens, en étudiant les traditions religieuses, philosophiques, morales, l’histoire, la langue, les arts et les monuments et les vestiges de l’Inde antique.
Nous voici en première étape : le premier législateur Manou a inspiré par la suite d’autres législateurs des contrées lointaines principalement l’Asie mineure, l’Égypte, la Grèce, et à certains égards la Perse.

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Un homme donne à l’Inde des lois politiques et religieuses, et il s’appelle Manou.
Le législateur égyptien reçoit le nom de Manès.
Un Crétois se rend en Égypte pour étudier les institutions dont il veut doter son pays, et l’histoire conserve son souvenir sous le nom de Minos.
Enfin le libérateur de la caste asservie des Hébreux fonde une société nouvelle, et se nomme Mosès.
Manou, Manès, Minos, Mosès, ces quatre noms dominent le monde ancien tout entier; ils apparaissent au berceau de quatre peuples différents, venant jouer le même rôle, entourés de la même auréole mystérieuse, tous quatre législateurs et grands-prêtres, tous quatre fondant des sociétés sacerdotales et théocratiques.
Qu’ils aient procédé les uns des autres, que Manou ait été leur précurseur, cela ne peut faire l’ombre d’un doute, en présence de la similitude des noms et de l’identité des institutions qu’ils ont créées.
En sanscrit, Manou signifie l’homme par excellence, le législateur.
Manès, Minos et Mosès ne proviennent-ils pas de la même racine sanscrite? Ces noms n’accusent-ils pas une origine unique et incontestable, et dont on ne peut attribuer les variations, bien légères du reste, de la prononciation et de l’écriture , qu’aux langues égyptienne, grecque et hébraïque, qui toutes trois, en s’emparant de ce nom primitif de Manou , devaient nécessairement l’écrire avec des changements appropriés à leur génie et à leurs formes particulières ? Lire la suite

Krishna & le Christ : qui procède de qui ? (suite)

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Controverse entre un indianiste catholique et Jacolliot

« Tout le monde sait que les Évangiles n‘ont été écrits ni par Jésus-Christ ni par les apôtres, mais longtemps après, par des inconnus, qui, jugeant bien qu‘on ne les croirait pas sur des choses qu’ils n’avaient pas vues, mirent à la tête de leurs récits des noms d’apôtres ou d’hommes apostoliques contemporains… » (FAUSTE, savant manichéen du IIIè siècle.)

Afin de rendre la lecture plus fluide, nous insérons au début de chaque article des liens de cette série inédite d’une vingtaine d’extraits de plusieurs ouvrages sur l’origine du christianisme et ses rapports avec les anciennes religions de l’Inde, bref une comparaison de la Bible avec les anciens textes sanscrits. C’était l’oeuvre de Louis Jacolliot (1837 – 1890), magistrat français aux Indes au temps de la colonisation.

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Telle est la théorie imaginée au siècle dernier par les pères jésuites dans l’Inde; théorie que tous les indianistes catholiques soutiennent aujourd’hui avec cet ensemble que l’on connaît, toutes les fois que les intérêts de Rome sont en jeu ; et ici le cas n’est pas mince, il s’agit simplement, pour toutes les branches du christianisme, d’être ou de ne pas être, – et M. Textor de Ravisi pose dès le début carrément la question :
Est-ce le brahmanisme qui a emprunté au christianisme le couronnement de son édifice, le culte de Jésus—Christ?
Est-ce au contraire le christianisme qui a ses origines dans le brahmanisme, dans le culte de Christna? Lire la suite

Krishna & le Christ : qui procède de qui ?

vignetteControverse entre un indianiste catholique et Jacolliot

« Ce n’est pas la vérité qui est difficile à trouver, c’est l’hypocrisie scientifique et religieuse qui n’est pas facile à déraciner. » Louis Jacolliot (1837-1890)

Afin de rendre la lecture plus fluide, nous insérons au début de chaque article des liens de cette série inédite d’une vingtaine d’extraits de plusieurs ouvrages sur l’origine du christianisme et ses rapports avec les anciennes religions de l’Inde, bref une comparaison de la Bible avec les anciens textes sanscrits. C’était l’oeuvre de Louis Jacolliot (1837 – 1890), magistrat français aux Indes au temps de la colonisation.

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Pour mieux connaître Jacolliot et ses oeuvres nous continuons de mettre en ligne des extraits qui nous éclairent sur sa méthode et sa façon de voir les choses. Cette fois, nous retranscrivons une controverse entre Jacolliot et un de ses contradicteurs, l’indianiste catholique Textor de Ravisi qui a séjourné de longues années en Inde puisqu’il était gouverneur de Karical pendant 10 ans. Suite à la parution de La Bible dans l’Inde de Jacolliot en 1869, de Ravisi a réagi en publiant une petite brochure pour contester les thèses de Jacolliot. Celui-ci n’a pas choisi un adversaire facile, comme il l’a dit, mais un spécialiste, dirions-nous aujourd’hui, qui connaît son terrain.
Dans cette controverse, Jacolliot laisse d’abord la parole à son contradicteur de Ravisi avant de lui répondre dans la seconde partie que nous publierons très prochainement.

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Il y a plus : cette hypocrisie a toujours à son service l’arme de Basile, et elle s’en sert prudemment, silencieusement et avec tant d’habileté par les mille voix de ses adeptes, que les esprits les plus libres, les plus indépendants s’arrêtent parfois intimidée, en se demandant: Où est le vrai, où est le faux? et ils cessent de combattre, attendant qu’une éclaircie dans l’orage leur indique la route à suivre… Le résultat est obtenu, c’est tout ce qu’a voulu la science officielle et la coterie religieuse.
N’ai-je pas vu plusieurs publicistes de notre temps, vieux champions de la liberté scientifique et religieuse, n’oser rendre compte de mon dernier volume Les Fils de Dieu, ne sachant que répondre aux sourdes attaques qui montaient jusqu’à eux? Lire la suite

Jacolliot indianiste par passion

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« Les rois cherchent la guerre comme les mouches recherchent les ulcères; les méchants ne se plaisent que dans les querelles; l’honnête homme fuit les rois, les mouches et les méchants. » (Sagesse indienne)

Afin de rendre la lecture plus fluide, nous insérons au début de chaque article des liens de cette série inédite d’une vingtaine d’extraits de plusieurs ouvrages sur l’origine du christianisme et ses rapports avec les anciennes religions de l’Inde, bref une comparaison de la Bible avec les anciens textes sanscrits. C’était l’oeuvre de Louis Jacolliot (1837 – 1890), magistrat français aux Indes au temps de la colonisation.

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Nous avons, dans nos dernières publications, présenté Louis Jacolliot (1837-1890) à travers des extraits de ses ouvrages. Avant de publier d’autres traductions de textes indiens découverts par notre chercheur, notamment la version indienne de la Genèse, du déluge, etc., nous tenons à présenter à nos lecteurs-internautes le point de vue de Jacolliot sur les recherches menées par des Occidentaux en Inde en matière d’histoire et de civilisation, sa méthode d’approche qui n’a rien à envier à nos méthodes actuelles à plus d’un siècle de distance. Tout anthropologue ou ethnologue en particulier, doit connaître son terrain pour être pris au sérieux, et pour connaître son terrain il faut avoir fait du terrain : partir pour la terre étrangère, y vivre avec le peuple étudié, apprendre sa langue, sa culture matérielle et idéelle, etc. Ces aspects nous semblent évidents mais ce n’était pas le cas au XIXe siècle où bien des « savants » ont déclaré : « J’ai tout lu sur … » sans jamais sortir de leur bureau. Lire la suite

Dialogue entre un brahmane et un missionnaire sur la question de Dieu

vignette« Il faut étudier pour savoir, savoir pour comprendre, comprendre pour juger. » Louis Jacolliot (1837-1890)

Afin de rendre la lecture plus fluide, nous insérons au début de chaque article des liens de cette série inédite d’une vingtaine d’extraits de plusieurs ouvrages sur l’origine du christianisme et ses rapports avec les anciennes religions de l’Inde, bref une comparaison de la Bible avec les anciens textes sanscrits. C’était l’oeuvre de Louis Jacolliot (1837 – 1890), magistrat français aux Indes au temps de la colonisation.

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Nous avons présenté lors de la publication du dernier article au sujet du monothéisme quelques extraits d’un auteur aujourd’hui complètement oublié pour ne pas dire enterré, Louis Jacolliot. En parcourant ses écrits en matière de religion et de spiritualité, nous avons décidé de continuer à le présenter sur notre site dans une série de plusieurs articles sur le thème du rapport entre l’Occident et l’Orient. En parcourant la toile, on s’aperçoit que cet homme de lettres du XIXe siècle n’est pas perçu à sa juste valeur. À un auteur de plusieurs dizaines d’ouvrages, Wikipedia consacre quelques lignes en laissant croire que ses travaux ne sont pas fiables d’après des spécialistes de l’Inde. Nous connaissons l’opinion de Wikipedia sur les questions sensibles. Il ne faut pas compter sur lui pour aller vers la lumière. Sinon il existe bien un site qui lui consacre une biographie plus fournie, mais là, on retient seulement ses œuvres littéraires en rapport avec les voyages. Par contre il y a pas mal de sites en espagnol ou en anglais qui parlent de lui : nul n’est prophète dans son royaume ? Pour ceux qui connaissent le monde des lettres et des éditions, la meilleure façon d’enterrer un auteur c’est de ne pas en parler, le silence assourdissant suffi à se retourner contre l’auteur visé. Nous posons alors une question en corollaire : est-ce qu’une œuvre connue des médias, encensé par les spécialistes et présenté à la meilleure place dans une librairie est une preuve, un garant de qualité ? Nous laissons la réponse à nos internautes pour nous borner à extraire d’autres passages de Jacolliot qui nous semblent intéressants pour la compréhension de notre passé commun de l’humanité toute entière. Dès aujourd’hui nous pouvons annoncer à nos lecteurs que cette série d’articles comporte plusieurs épisodes. Nous allons voir successivement la version indienne :
– de la création des premiers hommes : Adima et Héva qu’on pourra ainsi comparer avec la Genèse de la Bible ; Lire la suite