Au vu des faits non exhaustifs énumérés ci-dessous, nous demandons que soit réétudié l’ensemble de l’histoire du SIDA ainsi que la théorie selon laquelle le virus du VIH engendrerait de façon fatidique le SIDA.
Sources : http://www.alterinfo.net
SIDA, la naissance d’un mythe :
Années 70 (1972 pour être précis) : Ricard Nixon investit des millions de dollar dans la recherche contre le cancer en s’axant uniquement sur l’étude des rétrovirus.
Fin 1970 : les recherches n’ont rien donné, Nixon risque gros vu l’importance des sommes mises en jeux. Aussi l’apparition du SIDA va être le prétexte de délaisser le cancer pour s’axer uniquement sur cette nouvelle maladie (et ainsi faire oublier son échec dans l’étude des rétrovirus).
Parallèlement les chercheurs du Center for Disease Control (CDC) risquent de perdre leurs subventions s’ils ne trouvent pas rapidement de nouvelles pistes à exploiter. Le SIDA tombe également à pic pour cet organisme.
Dans les faits :
A la fin des années 70 : apparaît la libération sexuelle des homosexuels. Ces derniers durant cette période auront une hygiène de vie déplorable, plusieurs partenaires sexuels, aucune protection, avec également l’utilisation de nombreuses drogues et notamment le Nitrite d’Amile (plus communément appelé Poppers).
Ce style de vie va provoquer l’apparition de 2 maladies principales :
- Le Sarkome de Caposi, maladie des vaisseaux sanguins, comparable au cancer de la peau (il est intéressant de noter que cette maladie sera de moins en moins répandue avec la réglementation sur les Poppers)
- La Pneumocystis C qui est une déficience du système immunitaire pulmonaire
Le CDC s’est saisi de ce phénomène afin de créer une nouvelle maladie qui lui permettra d’obtenir de nouveau des subventions.
Années 80 (1983 pour être précis) : le professeur Luc Montagnier pense avoir découvert le virus responsable du SIDA. Ceci dit il n’en est pas totalement certain. Au États Unis le Professeur Gallo le devance dans une conférence de presse et déclare qu’il a découvert le virus du SIDA. Le ministre de la Santé présent à la conférence déclare par la suite que « le virus du SIDA à probablement été découvert » . Le lendemain, l’ensemble des journaux et médias « oublient » le mot « probablement », ce qui conduit à l’évidence VIH=SIDA, tandis que le soir même le professeur Gallo brevette le test de dépistage du VIH et devient millionnaire.
Dans les faits :
Le VIH n’a jamais été isolé, ainsi il n’a jamais été observé dans un corps humain. Ce que Montagnier a découvert a été observé dans une culture microbienne. Aujourd’hui un prix de 100.000 dollars est offert par le professeur Alexander Russel à qui pourra prouver l’existence du virus ((lien)
En Afrique :
Aujourd’hui le professeur Luc Montagnier le reconnaît : il suffit d’un bon système immunitaire pour se débarrasser du VIH. Prenez un Africain, donnez lui les bonnes mesure d’hygiène, de l’eau potable ainsi qu’une nourriture de qualité et son organisme se débarrassera du virus. (voir vidéo)
Il est à noter que 90 pour 100 des séropositifs se trouvent en Afrique du Sud, or il est étrange que pour un virus qui est censé pouvoir infecter tout le monde ce virus se cantonne uniquement à l’endroit le plus pauvre de la planète. Ainsi un lien évident peut être fait entre les mauvaises conditions de vie et un système immunitaire immunodéficient.
1985 : des scientifiques vont en Afrique étudier le SIDA afin de dresser une liste de symptômes qui indiquent ou non la présence de la maladie. Ses symptômes vont être au nombre de 4 :
Fièvre prolongée, toux persistante, diarrhée chronique et perte de poids importante . Ce sont les critères de Bangui. Néanmoins, de nombreuses autres maladies déjà présentes en Afrique avant l’ épidémie du SIDA procurent ces mêmes symptômes tel que la malaria ou bien la tuberculose. De plus, la population africaine en 1985 était de 547 millions de personnes et de 720 millions en 1995. Donc, le taux de progression entre 1985 et 1995, était de 31 %. Et en 1975 (soit avant l’apparition du SIDA) la population était de 413 millions, soit une progression entre 1975 et 1985 de 32 %. Ainsi la croissance de la population est quasiment la même depuis 30 ans. La baisse de 1% s’explique aisément par l’urbanisation du pays, le fait de vivre en ville ne permet pas d’avoir autant d’enfants qu’à la campagne étant donnée le manque de place.
L’AZT : le SDA sur ordonnance :
Initialement l’AZT devait être utilisé comme traitement contre le cancer, mais devant la haute toxicité du produit ainsi que ses effets indésirables il ne put être mis sur le marché . En 1985 devant l’absence de traitement ainsi que la pression de diverses associations homosexuels principalement l’AZT put obtenir une Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) en un temps record de 4 mois.
En 1987 une expérience a été menée sur un échantillon de 1000 hémophiles séropositifs. Sur 1 an il y eu 9 morts. Puis lorsqu’a commencé le traitement à base d’AZT, le taux de mortalité a été multiplié par 100. Pour les médecins, ceci était le fait du virus ainsi ils augmentaient les doses de traitements. Pourtant, les hémophiles n’ont pas commencé à mourir lors de l’apparition du SIDA en 1981, mais en 1986, début du traitement à l’AZT. Avant 1986, leur espérance de vie l’avait pas arrêté d’augmenter, passant de 33 ans en 1960, à 57 ans, en 1980 (et redescendant à 40 ans, durant la période 87-89).
De nombreuses études ont montré que du tiers à la moitié de ceux qui avaient pris de l’AZT avant d’avoir des symptômes du sida présentaient des symptômes de diminution de la qualité de vie apparaissant plus vite que chez les sujets témoins. On a même constaté que souvent la mort venait beaucoup plus vite sans qu’il y ait le moindre signe de sida. Ceci fut décrit officiellement comme des cas de « mort sans qu’il y ait aucun symptôme du sida qui l’ait précédée ».
Les tests de dépistages
Ils ne sont tout simplement pas fiables. Il faut savoir que le test ne sert pas à détecter le virus, mais les anticorps (au nombre de 10) censés combattre le VIH. Le problème est qu’il y a une trentaine de maladies, ainsi que le vaccin de la grippe qui provoque également l’apparition de ces anticorps.
De plus il y a plusieurs fabricants de tests dans le mondes, chaque fabricant fixe lui même les conditions selon lesquels nous sommes ou non. Il est donc possible d’être séropositif en Afrique (il faut 2 protéines sur les 10), alors que je ne le serai probablement pas en France car il en faut 3, et encore moins en Australie car il en faut 4.
VIH=SIDA ?
Une étude a été faite sur 80 hommes mariés présentant des anticorps au VIH, dont les femmes furent testées après avoir eu plusieurs centaines de rapports sexuels avec leurs maris. Les résultats ont montré que seules 12 des femmes devinrent séropositives. Aucun cas de SIDA n’a été signalé. (Journal de l’Association Médicale Américaine, 1er janvier1988) Combien de ces femmes consommaient-elles de la drogue ? Je pense que le comité de révision a omis ce point.
Dans le milieu de la prostitution (logiquement celui où il devrait y avoir le plus de séropositivité) seul les prostitués utilisant des drogues dures présentent des symptômes d’immunodéficiences .
Les statistiques sont frappantes. À New York City, par exemple, 40 à 50 pour cent des prostituées de rue (une très basse caste de prostituées) qui ont consommé des drogues par voies intraveineuses durant la décennie passée sont séropositives au VIH. Parmi les call-girls de New York City (une caste plus élevée de prostituées), aucune séropositivité n’a été trouvée parmi celles qui ne se droguaient pas. Ces chiffres étaient constants entre 1984 et 1989.
Il est important de noter que l’absence presque complète de VIH parmi les prostituées non consommatrices de drogue n’est pas due à des pratiques plus sûres en matière de sexe. Les mêmes études qui ont trouvé une absence de VIH ont documenté des taux d’utilisation de préservatifs bas et des taux très élevés d’infection avec les maladies sexuellement transmissibles classiques. Vingt-cinq à cinquante pour cent des prostituées étaient séropositives pour la syphilis ; le même pourcentage approximativement était séropositif pour le virus de l’hépatite B (avec environ 5 % activement infectées) ; et des anticorps contre le chlamydia, l’herpès simplex I, l’herpes simplex II, et la gonorrhée étaient présents chez 95 à 100 pour cent.
En 1993 le professeur Willner s’injecte lui-même devant une conférence de presse du sang provenant d’un hémophile séropositif. Aucun symptômes normalement propre à la maladie n’apparaîtra (voir la vidéo
A savoir : Parmi les membres du comité SIDA de l’Organisation Mondiale de la Santé, 8 sur 10 sont membres de l’industrie pharmaceutique
Pour aller plus loin
- Un excellent documentaire qui retrace de façon objective l’histoire de l’apparition du SIDA jusqu’à aujourd’hui :
- Une interview du docteur Étienne De Harven et du journaliste scientifique et technique Jean-Claude Roussez auteurs du livre « les 10 plus gros mensonges sur le SIDA »: No Name TV
- Une seconde interview du docteur Étienne De Harven et du journaliste scientifique et technique Jean-Claude Roussez : les 10 plus gros mensonges sur le SIDA
- L’un des tout premier documentaire remettant en doute le lien VIH=SIDA : Le Doute
- Les sites : Sidasanté
- Rethinking AIDS (pour les anglophones)
Les sources :
Cameron DW, Simonesen JN, Costa IJ, et at., « Female to male transmission of human immunodeficiency virus type 1: risk factors for seroconversion in men, » Lancet ii: 403-407,1989.
Ward Day M. Harris JRS, « Prostitute women and public health, » British Medical Journal 297,1585, 1988.
Hyams KC, Escamilla J, Papadimos TJ, et at., « HIV infection in a non-drug abusing prostitute population, » Scandinavian Journal of infectious Diseases 21: 353-354, 1989.
Piot P, Laga M, « Prostitutes: A high-risk group for HIV infection? » Sozial- und Praeventativemedicin 33: 336-339, 1988.
Rosenberg MJ, Wiener JM, « Prostitutes and AIDS: A heath department priority’ /American Journal of Public Health » 78: 418423, 1988.
Wallace J, « Case Presentations of AIDS in the United States » in: Ma P. and Armstrong D. AIDS and Infections of Homosexual Men 2nd Edition. Boston: Butterworths, 285-295,1989.
* * * * *
Notes :
1. Papadopulos-Eleopulos E. (1982). A Mitotic Theory. J. Theor. Biol. 96:741-758
2. Papadopulos-Eleopulos E. (1988). Reappraisal of AIDS: Is the oxidation caused by the risk factors the primary cause? Medical Hypotheses 25:151-162.
3. Papadopulos-Eleopulos E, Turner VF, Papadimitriou JM. (1992). Oxidative Stress, HIV and AIDS. Res. Immunol. 143:145-148.
4. Papadopulos-Eleopulos E, Turner VF, Papadimitriou JM. (1993). Is a Positive Western Blot Proof of HIV Infection? Bio/Technology 11(June):696-707.
5. Papadopulos-Eleopulos E, Turner VF, Papadimitriou JM. (1993). Has Gallo proven the role of HIV in AIDS? Emerg. Med. [Australia] 5(No 2):113-123.
6. Papadopulos-Eleopulos E, Turner VF, Papadimitriou JM, Causer D, Hedland-Thomas B, Page B. (1994). A critical analysis of the HIV-T4-cell-AIDS hypothesis. Genetica 95:5-24.
7. Papadopulos-Eleopulos E, Turner VF, Papadimitriou JM, Causer D. (1995). A reply to Wei and Ho. Unpublished letter to Nature.
8. Papadopulos-Eleopulos E, Turner VF, Papadimitriou JM, Causer D. (1995). Fator VIII, HIV and AIDS in haemophiliacs: an analysis of their relationship. Genetica 95:25-50.
9. Papadopulos-Eleopulos E, Turner VF, Papadimitriou JM, Bialy H. (1995). AIDS in Africa: Distinguishing fact and fiction. World J. Microbiol. Biotechnol. 11:135-143.
10. Papadopulos-Eleopulos E, Turner VF, Papadimitriou JM. (1996). Virus Challenge. Continuum 4:24-27.
11. Turner VF. (1990). Reducing agents and AIDS–Why are we waiting? Med. J. Aust. 153:502.
12. Toplin I. (1973). Tumor Virus Purification using Zonal Rotors. Spectra No. 4:225-235.
13. Sinoussi F, Mendiola L, Chermann JC. (1973). Purification and partial differentiation of the particles of murine sarcoma virus (M. MSV) according to their sedimentation rates in sucrose density gradients. Spectra 4:237-243.
14. Gelderblom HR, Ozel M, Hausmann EHS, Winkel T, Pauli G, Koch MA. (1988). Fine Structure of Human Immunodeficiency Virus (HIV), Immunolocalization of Structural Proteins and Virus-Cell Relation. Micron Microscopica 19:41-60.
15. Levy JA. (1996). Infection by human immunodeficiency virus-CD4 is not enough. NEJM 335:1528-1530.
16. Barre-Sinoussi F, Chermann JC, Rey F. (1983). Isolation of a T-Lymphotrophic Retrovirus from a patient at Risk for Acquired Immune Deficiency Syndrome (AIDS). Science 220:868-871.
17. Gallo RC, Salahuddin SZ, Popovic M, et al.. (1984). Frequent Detection and Isolation of Cytopathic Retroviruses (HTLV-III) from Patients with AIDS and at Risk for AIDS. Science 224:500-503.
18. Bess JW, Gorelick RJ, Bosche WJ, Henderson LE, Arthur LO. (1997). Microvesicles are a source of contaminating cellular proteins found in purified HIV-1 preparations. Virol. 230:134-144.
19. Gluschankof P, Mondor I, Gelderblom HR, Sattentau QJ. (1997). Cell membrane vesicles are a major contaminant of gradient-enriched human immunodeficiency virus type-1 preparations. Virol. 230:125-133.
20. Hockley DJ, Wood RD, Jacobs JP. (1988). Electron Microscopy of Human Immunodeficiency Virus. J. Gen. Virol. 69:2455-2469.
* * * * *
Crédits photos :
Vignette : http://www.galeriegraal.com/
Schéma du Rapport sur le Sida http://www.sangonet.com/
HIV en Afrique du Sud : http://www.msf.fr/
Ping : blog danco » Blog Archive » Bulletin du 31 décembre 2011