En guise de vœux pour l’année 2016, nous mettons en ligne dès les premiers instants de la nouvelle année une conférence de Gregg Braden tournée en 2007 à Milan. Merci au site Connaissances sans frontières d’avoir fait la traduction en français.
Cette vidéo existe depuis quelques temps mais nous la découvrons ces temps-ci avec émerveillement.
Gregg Braden est de formation scientifique, il était ingénieur à la NASA entre autres, mais un scientifique non dogmatique car il revendique maintenant d’être nourri de traditions spirituelles amérindiennes, cherokee pour être plus précis. Oui un scientifique qui est parti à la recherche des connaissances maintenues vivantes dans des traditions spirituelles à travers le monde (Tibet, Égypte, Inde, etc.) mais oubliées par la tradition judéo-chrétienne depuis le IVè siècle.

La physique quantique à cet égard ne fait que confirmer ce que les traditions spirituelles ont toujours su et dit. Gregg Braden souligne le fait que la science s’est trompée sur deux points primordiaux :
– l’espace n’est pas vide comme dit la science, mais bien rempli de « connexions » qui relient tout à tout. Aujourd’hui avec des instruments de mesure modernes et sophistiqués on est capable de visualiser ce que les scientifiques croyaient être vide. Cet espace est appelé selon les uns la Divine Matrice, selon les autres le Champ, et selon d’autres encore l’Hologramme quantique, l’Esprit de la Nature, la Conscience universelle, etc. Cet espace non vide est aussi démontré par les travaux de Nassim Haramein dont sa dernière conférence à Paris donne l’ampleur et les implications.
– nos sentiments, nos émotions, nos prières ont des effets sur le monde physique, ce que la science a toujours nié et bien des scientifiques dogmatiques continuent aujourd’hui à ignorer ce fait désormais prouvé. Quelques exemples parmi d’autres : le choc émotionnel provoqué par le 11 septembre a été mesuré scientifiquement ; des maladies incurables guéries par la prière, ce qu’on appelle les guérisons miraculeuses ; des prières qui font tomber la pluie. Sur ce dernier fait Gregg Braden était témoin plus d’une fois : la première chez les Cherokee avec son ami qui priait, et la deuxième en Australie dont les autorités se réclamaient de la méthode Braden. Aussi déroutant que ces prières qui font tomber la pluie [1], le phénomène peut être expliqué par la physique quantique, notamment le phénomène d’intrication. La physique quantique sait comment agir sur les photons ou autres particules de la matière pour modifier leur présent et leur passé : quand on modifie l’état d’un photon dans le présent son état dans le passé se modifie également et inversement.
Gregg Braden mène cette enquête avec méthode et rigueur, ils nous montre face à face la science et les traditions spirituelles anciennes. Ses affirmations sont systématiquement illustrées par des expériences sorties des labos scientifiques ou des textes anciens datant des milliers d’années sinon plus – un moine tibétain lui a montré un texte datant de 17.000 ans !
Nous n’allons pas tout dévoiler, il reste bien des choses à émerveiller les esprits.

* * * * *

Notes :

[1]. Ce « miracle » qui n’en est pas un nous fait aussi penser à la capacité ou le pouvoir des hommes-médecines lakota (sioux pour les Français) qui peuvent éloigner des orages à l’approche de leurs cérémonies lors de la danse du soleil. Voir De mémoire indienne de Tahca Ushte & Richard Erdoes, Collection Terre humaine , Chez Plon, pp. 137-138.

* * * * *