Retour sur un scandale médical

L’origine du Sida, les mensonges et les agissements criminels autour de cette maladie ont été de nombreuses fois signalés dans notre bulletin avant même sa version web. Nous revenons sur cette question en proposant un nouveau documentaire qui doit faire réfléchir tous ceux qui se penchent sur cette maladie.

Souvenez-vous, l’homme qui a « découvert » le virus du Sida le VIH, est le professeur Robert Gallo. Cette imposture scientifique est partie comme une traînée de poudre juste après la conférence de presse convoquée le 23 avril 1984 par Margaret Heckler, secrétaire d’État chargée à la Santé sous Reagan, dans laquelle la Dame annonce au monde entier que « la cause probable du sida a été trouvée » [1]. Cet effet d’annonce a été soutenu par les propos du professeur Gallo, une autorité médicale qui reprit la parole juste après la secrétaire d’État, sans que sa « découverte » fût étayée par des publications scientifiques. Quand les médias ont rapporté l’information du jour, ils ont tous avalé le mot « probable » pour ne laisser apparaître que « la cause du sida a été trouvée ». Premier mensonge donc. En passant on a oublié de signaler les recherches du professeur Luc Montagnier de l’Institut Pasteur à Paris qui avait le premier identifié quelque chose qui ressemble à un virus.

Robert Gallo sous le regard de Margaret Heckler, secrétaire d’État chargée à la Santé

Le gouvernement de Reagan déclara la guerre à cette nouvelle épidémie en débloquant des millions de dollars pour la combattre. D’autres milliards viendraient dans la foulée au bonheur des chercheurs, firmes pharmaceutiques et autres professions connexes (publicité, marketing, communication, etc.). Un test devait voir le jour par la suite avec une « précision à 100 % ». On verra que les tests étaient loin d’être fiables car un même test peut donner des résultats contradictoires, juste de quoi rendre fou un individu qui veut connaître son état de santé. Plus étonnant encore : la définition de Bangui  issue de la première conférence internationale sur le Sida en 1985 (une grande messe médiatique, ou pour reprendre l’expression de l’air du temps, une grande opération de com dans la capitale de la République centrafricaine) fait de l’Afrique et d’autres pays du Sud les principales victimes de la nouvelle peste. Mais nulle part il n’était question de la pauvreté, de la misère, des conditions de vie déplorables, de l’eau non potable qui sont les principales causes des morts dans les bidonvilles, ou des lieux de vie innommables. Ces victimes trop insignifiantes ont été déclarées atteintes du Sida à cause de leurs vies sexuelles trop libérales, c’est justement ce qu’on ne s’autorisait pas à dire des homosexuels sur la côte californienne. La contagiosité du Sida à travers l’acte sexuel n’a jamais été prouvée non plus, la chimiothérapie n’a pas sauvé les malades par contre ceux qui ont jeté aux chiottes les comprimés d’AZT susceptibles de les soigner ont survécu. D’autres vérités choquantes liées au Sida sont révélées, par exemple : la consommation de Poppers (sur la côte californienne dans les années 1960 lors de la libération sexuelle, et dans la foulée l’éruption de la communauté homosexuelle) qui n’est rien d’autre que le nitrate d’amyle, une drogue fabriquée dans les années 1850-1860, qui détruit les capacités défensives du corps humain. Accuser une communauté de millions de personnes d’être à l’origine d’une épidémie à cause de son mode de vie qui dégrade la santé est politiquement incorrect, autrement dit suicidaire, par contre la formule magique de SIDA (syndrome de l’immunodéficience acquise) arrange tout le monde, politiciens, chercheurs, médecins, firmes pharmaceutiques, etc.

Place au documentaire de Vitta Productions, réalisé par Brent W. Leung d’une heure trente, en VOSFR.

SIDA – La choquante vérité (House Of Numbers)

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Notes :

[1]. Nexus, « Le jour où le VIH est devenu le Sida », n°79, mars-avril 2012, p. 19.

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Crédit photo :
Sources : http://disidentesvih.blogspot.fr/

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