Archives quotidiennes :

Les pyramides d’Égypte : mystères et découvertes

Mystères et découvertes

Un documentaire vidéo comme on aimerait voir plus souvent sur les écrans : les bâtisseurs des Pyramides d’Égypte connaissaient le nombre d’or (φ), Pi (π) ; la précision des constructions est de l’ordre du dixième de millimètre, rapportée à des dimensions de l’ordre des centaines de mètres, cela mérite l’admiration car même avec des instruments de précision moderne de notre époque on ne sera pas capable d’atteindre cette prouesse technique. On y découvre entre autres les rapports entre l’Île de Pâques, la grande pyramide de Gizeh, Tassili N’ajjer (Algérie), Petra (Jordanie), Persépolis (Iran), Ur (Sumer-Irak), Mahenjo Daro (Pakistan), Khajuraho (Inde),Pyay (Birmanie), Sukhothai (Thailande), Angkor Vat et Preah Vihea (Cambodge), Shen-hsi (Chine), Teotihuacan (Mexique), Machu-Pichu, Cuzco, Nazca (Pérou), etc., que les pyramides d’Égypte ont résisté aux tremblements de terre qui se sont produits au cours de l’histoire. « Pour la première fois dans l’Histoire, est-il écrit sur la page de présentation du film, un paradigme historique scientifiquement valide et solide vous est directement présenté, à lui seul capable d’ébranler la construction artificielle imposée par l’enseignement grâce au mépris des faits dérangeants : ces faits qui –  de la taille des grandes pyramides parfois – n’entrent pas dans le palais officiel du savoir prétendu rationnel, et qui, tôt ou tard, remettront en cause nos connaissances. » Mais hélas, on reste sur notre faim de savoir comment et avec quels outils ces bâtisseurs ont construit ces pyramides. Lire la suite

Tutelles, nos parents spoliés

« En France un million de personnes sont sous la protection de la justice : des personnes âgées mais aussi des jeunes, des victimes de la maladie d’Alzeimer, des handicapés. On les appelle les majeurs protégés. » La justice ne dispose que de 80 juges et de 120 greffiers qui ont aussi autres choses à faire qu’éplucher les comptes des personnes sous tutelle, soit 5 000 dossiers chaque année par un seul magistrat. Tâche impossible à faire faute de temps. Mais rien n’a été fait pour changer la situation. Les mauvaises langues diront que c’est grâce justement à ce « faute de temps » que les autorités du tutelle peuvent agir en toute impunité.
Deux ans d’enquête pour aboutir au scandale : « L’homme est un loup pour l’homme » , dit le médiateur dont on a supprimé le poste. Lire la suite