Introduction à la réunion publique d’information sur le thème : « Grippe… pandémie… Vaccins… Vous a-t-on tout dit ? » avec le docteur Marc Vercoutère

popoNous sommes contents d’être là avec vous aujourd’hui pour un après-midi sérieux en compagnie du docteur Marc Vercoutère alors qu’il fait beau dehors…
Il ne s’agit pas pour nous de jouer à se faire peur car beaucoup d’autres se sont chargés de le faire. Il s’agit de regarder les choses en face, de les identifier, de les comprendre avant d’agir si on a encore le temps.
L’idée c’est de:

  • se prendre en main (on n’est jamais mieux servi que par soi-même dans ce bas monde) ;
  • faire passer l’info contre la désinformation ;
  • rassembler les gens qui ont des doutes sur le bien-fondé de la vaccination ;
  • résister au rouleau compresseur de la vaccination en demandant qu’on nous explique clairement les choses telles que : les conditions de fabrication des vaccins, leur validité, leur efficacité, etc. Qu’on nous montre comment distinguer les symptômes de la grippe A de ceux de la grippe saisonnière.

Au-delà des discours alarmistes visant à faire peur, à faire accepter par la population de se faire vacciner, on constate toute une série de faits, des faits réels et avérés et non des rumeurs. Certains faits sont troublants, d’autres très inquiétants. Parmi les fais inquiétants on peut citer :

  • le fait que la demande de brevet du vaccin contre la grippe A-H1N1 a été déposée avant la constatation du premier cas de grippe dite porcine. Or il faut savoir qu’on ne peut pas fabriquer un vaccin contre un virus qui n’existe pas, qu’on ne connait pas encore, c’est impossible ! Le docteur Vercoutère me corrigera si je dis des bêtises. Mais dans cette histoire le vaccin existe avant la maladie : la firme Baxter, un des quatre fabricants du vaccin, a déposé sa demande de brevet le 28 août 2007 et son brevet a été accepté le 28 août 2008, soit un an après, et le premier cas de grippe porcine a été constaté, dit-on, au Mexique au printemps 2009, soit 20 mois après le dépôt de la demande de brevet. Ils ont été prévoyants !
  • Deuxième fait troublant : fin juillet 2009, les fabricants de vaccin contre la grippe A-H1N1 obtiennent l’immunité judiciaire en cas de poursuite judiciaire à cause des effets secondaires indésirables; et c’est la secrétaire à la Santé, Kathleen Sebelius, du gouvernement d’Obama qui a signé le décret. Cette loi états-unienne sous-entend que le vaccin peut provoquer des effets secondaires plus ou moins graves, mais Big Pharma qui contrôle le marché des vaccins n’a rien à craindre. Cela nous rassure, n’est-ce pas ? En France, les fabricants de vaccins sont aussi protégés par une loi de 2007 en cas de pandémie (voir affichage).

Juste un peu avant, le 11 juin, l’OMS a annoncé à Genève (où se trouve son siège) la première pandémie mondiale de grippe puisque l’alerte est passée au niveau maximal de 6.
Le 7 juillet 2009, il y a eu une réunion à l’OMS entre la directrice, Margaret Chan, et un groupe d’experts en matière de vaccins, ce groupe est composé entre autres, de représentants de Baxter et d’autres firmes pharmaceutiques. La décision de procéder à la vaccination au niveau mondial a été prise à cette occasion mais l’OMS a refusé de fournir le procès verbal de cette réunion.
Autre signe d’inquiétude :

  • le 29 juillet 2009, 600 neurologues auraient reçu une lettre confidentielle de la part du gouvernement des États-Unis leur avertissant d’être attentifs à une augmentation de désordres neurologiques provoqués par le vaccin contre la grippe A-H1N1.

Voilà ce qui nous rassure encore plus !
Heureusement, au milieu de tout cela, il existe des gens qui, par conviction personnelle, veillent de près sur ce qui se passe. Et la journaliste Jane Burgermeïster en est une.
Fin 2008 – début 2009, Jane Burgermeïster, une simple citoyenne autrichienne, a eu vent d’un incident survenu dans un labo de recherche en biochimie de Baxter en Autriche. Le personnel a été mis en quarantaine car ils étaient ou risquaient d’être contaminés par un virus de la grippe aviaire H5N1 en manipulant le vaccin contre la grippe saisonnière. Jane Burgermeïster est une journaliste spécialisée dans les questions de santé, elle écrivait pour des revues et journaux de renom.
Enquête faite, la journaliste dépose une plainte contre les labo Baxter et un autre labo de biotechnologie pour fabrication et développement d’armes biologiques dans le but de provoquer une pandémie. C’était en février 2009.
Deux mois pus tard, elle dépose une autre plainte, cette fois contre les grands de ce monde :

  • le président des États-Unis, Barak Obama ;
  • la secrétaire à la Santé, Kathlen Sebelius ;
  • la directrice de l’OMS, Margaret Chan ;
  • le chancelier de l’Autriche ;
  • le ministre de la Santé de l’Autriche ;
  • les grands banquiers & milliardaires : David Rockerfeller, David de Rothschild, George Soros et d’autres personnalités de premier ordre dans les affaires du monde.

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Jane Burgermeïster les accuse tout simplement de faire partie d’un syndicat du crime qui a mis au point, fabriqué, stocké et utilisé des armes biologiques en vue de décimer la population des États-Unis et celles d’autres pays dans le but de contrôle du monde.
Cette dernière plainte a été déposée au bureau du FBI à l’Ambassade des États-Unis à Vienne. À l’origine de cette plainte, la journaliste a découvert que la filiale autrichienne de Baxter international a délibérément envoyé 72 kilos de vaccins contre la grippe saisonnière contaminés par le virus de la grippe aviaire H5N1, à 16 laboratoires en Europe. Et c’est le labo Biotest de la République tchèque qui a découvert le pot aux roses : en administrant ce vaccin – contre la grippe saisonnière – aux furets, petits carnivores, le personnel de Biotest a constaté que ces petites bêtes étaient toutes mortes. C’est comme ça qu’on a découvert que le vaccin contre la grippe saisonnière contenait le virus de la grippe aviaire H5N1.
Bien sûr, personne ne pense que demain les agents de la FBI vont débarquer chez les Obama, chez Rockerfeller, chez les Rothschild, etc., pour les arrêter, et celle qui a porté plainte non plus, Jane Burgermeïster n’est pas une naïve. Mais sa plainte a une porté symbolique : c’est la première fois que les grands de ce monde sont nominalement visés par une plainte très grave.
Comme il s’agit de la santé qui dépend de l’alimentation, et il est question du contrôle du monde par de grosses firmes je vais terminer par vous rapporter deux autres éléments à verser au débat.
Le premier élément c’est le Codex Alimentarius qui sera mis en application le 31 décembre 2009, à la Saint Sylvestre, c’est-à-dire demain. Au sein de l’OMC (Organisation du commerce mondial) il existe une commission appelée Codex Alimentarius chargée de réglementer tous les produits alimentaires. Le Codex Alimentarius est administrée par l’OMS et la FAO (l’Organisation des Nations-Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture).
À partir de l’entrée en vigueur du Codex Alimentarius (le 31 décembre 2009) :

  • Les nutriments (vitamines & minéraux) seront limités à une liste de 18, et les autres seront déclarés illégaux, interdits ;
  • les médecines alternatives, comme la médecine par les plantes et d’autres médecines douces seront progressivement interdites ;

L’agriculture et l’alimentation se verront réglementées selon les normes du complexe agro-pharmaco-chimique :

  • l’alimentation humaine certifiée légale devra être irradiée, comme au MacDo.
  • Les produits qui contiennent des OGM ne seront plus étiquetés ;
  • les herbes et produits de santé naturelle seront classés dans la catégorie « Drogues » relevant de l’industrie pharmaceutique ;
  • par contre, le Codex Alimentarius autorise 7 des 9 insecticides interdits dans 176 pays ;
  • dans l’agriculture, les vaches doivent âtre nourries avec l’alimentation produite par Monsanto, toutes les bêtes doivent être traitées aux antibiotiques et aux hormones de croissance.

Voilà quelques perspectives du demain, et si l’on ne l’applique pas le Codex Alimentarius on sera en infraction avec la réglementation de l’OMC. Tout ceci n’est pas de l’ordre du délire anti-OMC. « L’affaire du Purin d’ortie en 2007 et les misères qu’a connues l’association Kokopelli sont là pour nous rappeler que tout ceci n’est pas une blague.
Les gens de l’OMC & de la FAO ont la suite dans les idées (en principe la date de butoir pour l’application du Codex Alimentarius est le 1er janvier 2011), ils ont fait des projections pour connaître ce qui adviendra si on applique ce Codex Alimentarius et ils ont trouvé des chiffres qui se passent de commentaires : il y aurait 3 milliards de morts dont 1 milliard par famine dans les pays pauvres et 2 milliards par malnutrition.
Dernier fait et je m’arrête. Depuis février 2008, l’humanité est dotée d’un blockhaus situé à 1000 km du pôle Nord dans la presqu’île norvégienne Svalbard. Dans ce blockhaus on stocke les semences, la capacité de stockage est de 4 à 5 millions de semences. Cette banque de semences est gérée par un organisme dont les principaux financiers sont la Fondation de Bill Gates (Microsoft), la Fondation de Rockerfeller, Monsanto, Syngenta.
Le but de cette banque se semences est, dit-on, de mettre les semences à l’abri des catastrophe, des guerres, des séismes, des tsunami, etc. En principe, les échantillons restent la propriété de l’organisme expéditeur. À l’heure actuelle, 400.000 échantillons sont stockés dans ce blockhaus nordique.
Étant donné les subventionneurs comme Monsanto, Syngenta, Bill Gates on peut se poser des questions :

  • Qu’est-ce qui se trame dans notre dos ?
  • Peut-on faire confiance à ces bienfaiteurs de l’humanité ?
  • Ne sont-ils pas entrain de provoquer une catastrophe ?
    Car celui qui contrôle l’alimentation, il contrôle la vie, il contrôle le monde. Qu’avons-nous à opposer à toutes ces éventualités ?Je m’arrête là et je passe la parole au docteur Vercoutère.

Saint-Lizier, 18 octobre 2009